Self-chasteté et selfbondage avec mondial relay

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il y a 4 ans

Je m’excitais comme un malade en lisant des histoires érotiques sur Fessestivites.com où je trouve, sans rien payer, un max d’idées et de scénarios de selfbondage.

Mes thèmes préférés sont la domination féminine, la chasteté et parfois l’ABDL si c’est associé à de la contrainte.

Je m’étais acheté une cage de chasteté CB6000 chez ABCplaisir avec laquelle j’avais déjà joué. Quelques temps plus tard, je suis passé au métal avec la Stainless steel gros sexe qui est très aérée et pratique pour l’hygiène. Mon sexe n’est pas très gros, c’est juste que ma verge peut se développer un peu dedans, une sensation que j’aime bien.

Ayant testé seul, je n’ai pu que laisser les clés au travail dans mon vestiaire le vendredi pour ne les récupérer que le lundi. Ce fut un week-end très érotique pendant lequel j’ai été très actif. Actif en lecture d’histoires érotiques et de plaisirs solitaires avec des godes et du selfbondage.

Pour varier les plaisirs, je me suis adressé un colis avec les clés de la cage de chasteté en mondial relay. J’ai déposé le colis le vendredi midi au tabac situé à deux cent mètres de mon lieu de travail. Pour mon selfbondage du samedi soir, j’avais mis une couche pour passer la nuit attaché sans prendre le risque de mouiller mon lit.

La cage de chasteté Stainless steel gros sexe n’est pas idéale pour jouer avec une couche. Elle est du coup trop grosse. La couche serrée appuie dessus et finit par créer une irritation. Finalement, pour associer la couche à mes jeux, je me suis pris une cage de chasteté Castrat comme ils le conseillaient sur Abkingdom.

Je m’égare dans mes confidences érotiques, ou plutôt le partage de mes délires.

Pour mon selfbondage en couche et sous cage de chasteté, j’avais fait simple :

  • Avec deux cordes j’ai fixé mes chevilles de façon à garder les jambes écartées.

  • Au centre de la tête du lit une chaîne fermée avec un cadenas.

  • Une paire de menottes passées dans la chaîne de façon à avoir les mains au-dessus de ma tête.

  • Un vibro à pile logé entre la couche et la culotte en plastique juste contre ma cage de chasteté.

Pour la libération de mon selfbondage, j’avais congelé les clés dans une grosse casserole d’eau. A ces clés, j’avais mis de la grosse ficelle que j’avais attachée aux barreaux du lit pour pouvoir les récupérer quand la glace aurait fondu. Afin d’être sûr qu’il n’y ait pas de problème, j’avais un peu décalé mon lit du mur.

La nuit fut finalement très longue !

Quand on est entrain de tout préparer, on s’excite. L’idée d’ajouter des choses vous vient. Avant de mettre la couche et la culotte en plastique, je me suis mis un gode de 19 centimètres de long et de 4 de large dans les fesses. La couche le tenait bien, même que quand je me suis assis sur le lit, j’ai bien senti les 19 centimètres.... Après avoir lié mes chevilles et mis le vibro en route, excité comme un malade, je me suis auto puni en attrapant les petites pinces à sein dans le tiroir de ma table de nuit.

Après avoir éteint la lumière, j’ai mis le bandeau sur mes yeux et passé mes poignets dans les bracelets des menottes. Clic, clic, clic, place au monde des songes coquins.

Une Maîtresse sadique que j’avais rencontrée sur fessestivites.com avait décidé de s’amuser avec moi et de profiter de ma personne. Dans un premier temps, elle avait laissé le vibro pile poil sur ma cage de chasteté et prenait une douche. Hummmmm . A son retour, elle avait pris un gode ceinture qu’elle passa à ma taille pour pouvoir s’empaler dessus ou m’ordonner de faire des mouvements. Cette sadique m’obligeait à donner des coups de reins pour lui donner du plaisir. Ces coups de reins se répercutaient sur le gode que j’avais dans les fesses. Et bien sûr, après avoir pris son plaisir, elle avait voulu que je lèche son chaton baveux pour le faire tout propre avec ma langue. Elle joua avec mes pinces à sein pour régler la vitesse de son sextoy humain. En clair, je masturbais mon fessier avec le gode...

Avec tous ces songes érotiques, le vibro sur la cage de chasteté et le gode dans mes fesses que j’agitais, je me suis pris un pied d’enfer sans pour autant éjaculer. Le souci est qu’après avoir joui du cul, l’excitation s’envole et le retour à la réalité se fait. J’avais mal aux seins, la cage de chasteté commençait à m’irriter et garder les bras au-dessus de la tête commençait à être inconfortable. J’ai eu beau supplier ma Maîtresse imaginaire, rien n’a été fait pour améliorer mon inconfort.

Cette saloperie de vibro à pile a vibré au moins deux heures et m’a empêché d’essayer de dormir. Je me suis réveillé plusieurs fois, la douleur des seins s’était calmée, par contre, le lubrifiant que j’avais mis pour le gode n’agissait plus. A chaque mouvement ce n’était pas très agréable. L’envie d’uriner a pointé son nez vers deux heures du matin. Le faire sous cage en étant étiré sur le lit fut plus difficile que je pensais. La douce chaleur envahissant ma couche en enveloppant mes précieuses me fut finalement très agréable. TROP ! Trop car j’ai eu des songes érotiques et le me suis mis à bander. La cage faisant son office, cela a commencé à tirer sur mes testicules. Et comme la couche s’était détendue quand la Maîtresse s’était servie de moi, elle laissait toute liberté à la cage pour avancer en tirant quelques poils au passage.

Me rendormir fut long, car quand j’ai tiré sur la ficelle des menottes, rien n’a bougé. Vers six heures, quand j’ai ouvert les yeux.... sur la douleur de mes épaules, le glaçon était presque fondu. Avec mes petits doigts, tant bien que mal je l’ai aidé à fondre en me les gelant. Et, comme ils étaient tous gelés, ils se sont vengés en ne me laissant pas trouver le trou de la serrure des menottes facilement.

Une fois que mes mains ont été libérées, ce fut un soulagement de courte durée. Retirer les pinces à sein fut douloureux, mes tétons, qui d’habitude les aiment bien, n’avaient pas apprécié que cela soit aussi long. Je me serai bien masturbé pour essayer de chercher du plaisir dans cette douleur, mais avec la cage de chasteté, cette hypothèse ne pouvait être envisagée.

Pour libérer mes chevilles, il a fallu que je m’assoies. Je l’ai fait bien trop vite, l’intrus dans mes fesses n’a pas aimé être ainsi réveillé et s’est enfoncé profondément en moi bien trop vite. Si j’ai mal quand je joue, je me caresse les tétons ou me masturbe, là, aucun de ces deux possibilités n’était possible. Ma maîtresse imaginaire aurait quand même pu détacher mes jambes ! Elle ne voyait pas ça comme ça. Elle a tenu à s’allonger sur le lit jambes écartées pour que je lui donne du plaisir avec ma langue. (Traduction, couché sur le ventre, je me frottais contre le lit pour rechercher d’agréables sensations en urinant dans ma couche)

Hélas, les agréables sensations furent limitées. Avec d’énormes précautions, je me suis levé pour aller aux toilettes et retirer l’intrus faisant office de bouchon. La douche me fit un bien fou même si j’ai à peine savonné mes tétons. Le journée du dimanche sans rien de précis à faire, m’a laissé le temps de vous faire cette première partie de confidences érotiques.

.........

Le dimanche soir, je n’ai pas osé joué avec mon corps, mes fesses étaient un peu douloureuses, mes tétons n’avaient pas supporté ma chemise, et devant ben.... j’étais bouclé, obligé d’être aussi sage qu’un moine. La nuit du dimanche au lundi se passa sans aucun souci, n’ayant pas bien dormi la précédente.

Le lundi matin, j’ai fait un détour pour aller chercher mon colis chez la fleuriste qui fait Mondial Relay. ELLE ETAIT FERMEE ! Et pour cause, c’était un lundi.

Non seulement je suis arrivé en retard au travail, mais en plus, j’y suis allé sous cage de chasteté. Personne n’a rien vu, ou ils ont pensé que j’étais « bien monté ». Cette saloperie de cage de chasteté s’est rappelée à moi plusieurs fois dans la journée. Sans aucune raison logique, à certains moments j’étais physiquement excité.

Ne pouvant pas arriver deux fois de suite en retard au travail, je suis allé chercher mes clés que le mardi soir. Et là ..... ce fut la fête à la bébête.

Je vous le dis clairement, n’allez pas lire les scénarios de selfbondage sur fessestivites.com ou, comme moi, vous risquez de ne pas résister à la tentation de les essayer.

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